D’abord parce que les coupables ont une longueur d’avance : ils connaissent la réalité des faits et, dès lors, sont potentiellement capables de la contourner ou de la dissimuler. L’innocent, qui se sait injustement renvoyé devant un juge pénal, sent que le moindre mot, le moindre clignement d’yeux peut être interprété à son détriment.la peur de l’innocent est plus grande que celle des coupables. Maitre Éric Dupont Moretti dans son œuvre bête noire condamnée à plaider

Freddy TshingejSerge KamungaRadio okapi

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